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PREMIER PLAN
Dans "premier plan", l’échelle change radicalement notre perception : les figures sont plus grandes, plus affirmées, et leur interaction devient primordiale. Ici, le mouvement des corps ne se limite plus à un flux global, il est incarné dans des postures expressives, des tensions, des gestes interrompus ou suspendus.
L’individu n’est plus seulement une composante de l’ensemble, il existe pleinement et entre en relation directe avec les autres. Les attitudes, les distances et les croisements de regards racontent des dynamiques de groupe plus intimes, plus narratives.
Ainsi, selon le plan adopté, le propos évolue. D’une masse en fusion à des interactions humaines précises, je cherche à interroger la manière dont nous percevons l’individu dans le collectif, entre effacement et affirmation, entre mouvement global et échanges directs.